Champion d’Europe en U19, champion de France en 2001, deux fois vainqueur de la coupe de France, le nouveau coach de la PHB de l’ARC Cavaillon a une sacrée carrière derrière lui. De Nantes, où il a été formé et où il a puisé pas mal des principes qui le guident aujourd’hui, au Pontet en CFA où il a rangé les crampons, en passant par Bastia, l’Italie, Arles Avignon et Nîmes, Sébastien Piocelle s’est façonné au point de vouloir aujourd’hui transmettre. Et de repartir de la base... (par J.L.B.)

Sébastien, avez-vous toujours eu envie de coacher ?
Oui, ça m’a souvent titillé car deux choses m’ont toujours intéressé lorsque je jouais encore : le management et l’entraînement, les deux domaines étant étroitement liés dans le football actuel ; J’ai toujours voulu être dans la gestion des hommes et, sur le terrain, j’avais l’habitude de prendre mes responsabilités, étant souvent capitaine, pour replacer les gars, avoir une attitude de meneur. C’était aussi comprendre le jeu, la logique des séances d’entraînement, la tactique etc. Certes, je pars de très bas en rejoignant le projet de Cavaillon, en district, mais j’entends m’investir à fond pour cette première expérience depuis l’obtention de son DEF.
Vous avez été formé à Nantes, on imagine que cette vocation vous vient aussi de là ?
Oui, bien sûr. Autant que Jean-Claude Suaudeau, qui fut le premier à me faire jouer en L1, que Raynald Denoueix, celui qui a cru en moi en venant me chercher, jeune, à Clairefontaine, les deux m’ont beaucoup marqué. Denoueix surtout, car je l’ai beaucoup côtoyé. En terme de réflexion tactique, d’entraînements, de jeu, c’était le top. Mais cela ne m’a pas empêché de prendre ensuite de tous les autres, de m’en nourrir, même de ceux avec qui j’avais moins d’affinités...
CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LA SUITE DE L'ENTRETIEN SUR LE SITE DE NOTRE PARTENAIRE "ON A TOUS UN CÔTÉ FOOT"
Oui, ça m’a souvent titillé car deux choses m’ont toujours intéressé lorsque je jouais encore : le management et l’entraînement, les deux domaines étant étroitement liés dans le football actuel ; J’ai toujours voulu être dans la gestion des hommes et, sur le terrain, j’avais l’habitude de prendre mes responsabilités, étant souvent capitaine, pour replacer les gars, avoir une attitude de meneur. C’était aussi comprendre le jeu, la logique des séances d’entraînement, la tactique etc. Certes, je pars de très bas en rejoignant le projet de Cavaillon, en district, mais j’entends m’investir à fond pour cette première expérience depuis l’obtention de son DEF.
Vous avez été formé à Nantes, on imagine que cette vocation vous vient aussi de là ?
Oui, bien sûr. Autant que Jean-Claude Suaudeau, qui fut le premier à me faire jouer en L1, que Raynald Denoueix, celui qui a cru en moi en venant me chercher, jeune, à Clairefontaine, les deux m’ont beaucoup marqué. Denoueix surtout, car je l’ai beaucoup côtoyé. En terme de réflexion tactique, d’entraînements, de jeu, c’était le top. Mais cela ne m’a pas empêché de prendre ensuite de tous les autres, de m’en nourrir, même de ceux avec qui j’avais moins d’affinités...
CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LA SUITE DE L'ENTRETIEN SUR LE SITE DE NOTRE PARTENAIRE "ON A TOUS UN CÔTÉ FOOT"