Maxence Queneau a fait ses premiers pas de footballeur sous les yeux de sa maman éducatrice à l'AS Preux à l'époque. Le milieu de terrain relayeur et capitaine a retrouvé son grand frère à l'AS Sautron où il joue aussi avec son cousin. Chez les Queneau, le foot est une affaire de famille.

Le foot chez les Queneau, c'est une affaire de famille. « J'ai commencé à jouer à l'AS Preux à quatre ou cinq ans. C'est ma mère qui m'entraînait en débutants. Mon oncle était président du club », raconte Maxence Queneau. Après avoir porté les couleurs du FC Nantes, de l'ASPTT Nantes puis de... l'AS Preux, l'ancien numéro neuf a rejoint son grand frère Valentin à l'AS Sautron en 2009 à l'âge de dix-huit ans.
« Lors de ma deuxième année au FC Nantes, j'ai reculé en milieu de terrain, en dix. Depuis deux, trois ans, je joue en milieu relayeur. En dix quand l'équipe attaque. En six quand elle défend. A ce rythme, je vais finir dans les buts », sourit l'intéressé, ravi de jouer avec son « frangin » milieu gauche et son « cousin » Kristofer Jan. Le défenseur central est arrivé cette saison en provenance de l'UF Saint-Herblain (DRS) pour renforcer le promu en DRH. « Mes grands-parents et mes parents nous suivent. Ils sont contents car ils n'ont pas besoin d'aller sur plusieurs terrains pour nous voir tous », indique celui qui a pour habitude de rater la préparation physique de pré-saison. « Ce n'est pas de ma faute, je dois toujours prendre mes vacances en août », précise-t-il.
« Lors de ma deuxième année au FC Nantes, j'ai reculé en milieu de terrain, en dix. Depuis deux, trois ans, je joue en milieu relayeur. En dix quand l'équipe attaque. En six quand elle défend. A ce rythme, je vais finir dans les buts », sourit l'intéressé, ravi de jouer avec son « frangin » milieu gauche et son « cousin » Kristofer Jan. Le défenseur central est arrivé cette saison en provenance de l'UF Saint-Herblain (DRS) pour renforcer le promu en DRH. « Mes grands-parents et mes parents nous suivent. Ils sont contents car ils n'ont pas besoin d'aller sur plusieurs terrains pour nous voir tous », indique celui qui a pour habitude de rater la préparation physique de pré-saison. « Ce n'est pas de ma faute, je dois toujours prendre mes vacances en août », précise-t-il.
« J'ai été bête étant jeune. Je ne faisais pas semblant »

A vingt-quatre ans, Maxence Queneau fait partie des cadres de la formation sautronnaise dont il est le capitaine. « Comme dit le coach (Eddy Capron), il y a plusieurs capitaines. On est une vraie bande de potes. Le brassard tourne aussi avec notre gardien Valentin Babilaere. Ça fait plaisir car c'est une marque de confiance. Parler à mes coéquipiers ? C'est dans ma nature. »
A une époque, Maxence avait d'ailleurs une fâcheuse tendance à parler un peu trop, à s'emporter sur le terrain. « J'ai été bête étant jeune. Je ne faisais pas semblant. J'étais sanguin. J'ai appris à me calmer. Aujourd'hui je suis un joueur fair play mais j'aime aller au duel, je n'ai pas peur », ajoute celui qui a été lancé dans le grand bain de la ligue en seniors par Yohann François, le prédécesseur d'Eddy Capron. C'était en DRH. Un niveau que le club avait quitté à l'issue de l'exercice 2011-2012. Un niveau retrouvé grâce à une place de meilleur deuxième de PH acquise à une journée du terme la saison dernière.
A une époque, Maxence avait d'ailleurs une fâcheuse tendance à parler un peu trop, à s'emporter sur le terrain. « J'ai été bête étant jeune. Je ne faisais pas semblant. J'étais sanguin. J'ai appris à me calmer. Aujourd'hui je suis un joueur fair play mais j'aime aller au duel, je n'ai pas peur », ajoute celui qui a été lancé dans le grand bain de la ligue en seniors par Yohann François, le prédécesseur d'Eddy Capron. C'était en DRH. Un niveau que le club avait quitté à l'issue de l'exercice 2011-2012. Un niveau retrouvé grâce à une place de meilleur deuxième de PH acquise à une journée du terme la saison dernière.
« Je vais devoir préparer un billet »

« On n'a perdu que deux matches en championnat l'année dernière. Ce début de saison est plus difficile. On a été jusqu'au quatrième tour de la coupe de France (défaite 0-1 face au FC La Chapelle-des-Marais, DH), mais on a été éliminé de la coupe Atlantique (défaite 2-1 contre l'ES Maritime, DSD) et on a un nul et deux défaites en championnat. Défensivement on est en place mais offensivement on ne met pas les occasions. Il n'y a que trois journées. On a aussi perdu cinq joueurs en équipe A. Il faut apprendre à jouer avec les nouveaux. Ça ne prend pas du jour au lendemain. Dimanche, il faut qu'on fasse un match costaud contre l'Intrépide d'Angers (9e, 1 victoire, 2e défaites) et qu'on prenne les quatre points », fixe Maxence Queneau et non « Quesneau ». « Même à Sautron, ils se trompaient en ajoutant un "s". Je ne sais pas pourquoi. »
Ce que le Sautronnais sait en revanche c'est qu'il va devoir mettre la main à la cagnotte. « Avec une interview plus une photo couleurs - en fait il y en a trois - je vais devoir préparer un billet », conclut-il avec le sourire.
Charles-Henri Chailloleau
Ce que le Sautronnais sait en revanche c'est qu'il va devoir mettre la main à la cagnotte. « Avec une interview plus une photo couleurs - en fait il y en a trois - je vais devoir préparer un billet », conclut-il avec le sourire.
Charles-Henri Chailloleau
Maxence Queneau
Né le 15 juillet 1991 à Saint-Sébastien-sur-Loire
Profession : menuisier poseur
Poste : milieu de terrain
Parcours : AS Preux, FC Nantes (2 ans), ASPTT Nantes, AS Preux, AS Sautron (depuis 2009)
Né le 15 juillet 1991 à Saint-Sébastien-sur-Loire
Profession : menuisier poseur
Poste : milieu de terrain
Parcours : AS Preux, FC Nantes (2 ans), ASPTT Nantes, AS Preux, AS Sautron (depuis 2009)